Solam

Le matin, tout feu tout flamme... le soir, on part en cendre.

Le lundi matin, généralement, on est en forme. On s’est reposé le week-end, on a pratiquement rattrapé ses heures de sommeils de la semaine passée… Bref, tout est réunit pour a peu près débuter l’histoire qui va s’écrire !
Du coup on se donne plutôt pas mal car la pêche est là et on veut en profiter avant qu’elle s’en aille...
Et le soir, après une journée qui peut avoir été tout simplement exténuante, tout retombe… les illusions de la grande forme, le week-end on dirait que c’était il y 5 jours, la bonne humeur du matin est resté...avec le matin et là, on réalise que demain, c’est seulement mardi et qu’il reste encore du chemin avant de pouvoir se reposer à nouveau.
Et quand on a de la chance, comme moi, on commence à tomber malade, à tousser et à avoir le nez qui subit quelques dysfonctionnements.

On vous a peut-être déjà parlé de l’ascenseur émotionnelle ? Une grande joie, par exemple, suivie d’une énorme déception ? C’est un peu l’idée que j’essaye de dégager. Le matin, tout feu tout flamme… le soir, on part en cendre.

Et dans ces moments là, je me demande comment font ceux qui ne supportent pas leur travail. Ceux qui sont obligés de se lever car ils n’ont pas le choix, ceux qui dépriment dès que leur yeux s’ouvrent (alors même si j’aime mon travail, la déprime me traverse l’esprit lorsque mes yeux s’ouvrent le lundi matin alors ne faisons pas de généralité).